Si le progressif a été lancé par le fameux album du Roi pourpre, il y a fort à espérer que son second âge d'or voit le jour grâce à Tata Yoko.
On ne s'y attendait pas du tout et le voila qu'il nous tombe dessus comme le numero gagnant du loto à un pauvre gars qui jouait son premier ticket.
Tata yoko, c'est 3 mellotrons, 12 moogs, 67 orgues hammond et un Rick Wakeman à 189 mains pour se servir de tout ça.
Tata Yoko, c'est des envolées lyriques, des textes mystico-philosophiques, des compositions digne de l'oncle à Mozart (qui savait très bien jouer de la cornemuse messieurs les détracteurs) et même, je dis bien, même d'un brin de folie qu'on ne soupçonne pas en regardant la jacquette.
Tata Yoko, c'est aussi la plus grande force d'espoir en l'homme (et surtout en l'artiste déchu) qui existe.
Pour rallier Jordy, Zucchero et Lalane sur un meême album, il en fallait des couilles de générosité!!! Hein amarok?
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